Tout d’abord, la forte croissance démographique risque de changer la physionomie de la croissance africaine, en liant davantage l’accroissement du PIB à des territoires et à de grandes régions, plutôt qu’à des pays.
Ensuite, la démographie va bouleverser le modèle actuel de développement urbain. Actuellement, ce dernier est concentrique, avec deux ou trois villes principales concentrant les grands services administratifs, socio-économiques et politiques des pays. La croissance future s’articulera autour de modèles de développement urbain polynucléaires et multi nodaux.
Troisièmement, le grand enjeu d’une démographie forte est celui du capital humain. Or, l’Afrique se trouve confrontée à plusieurs difficultés qu’elle peut surmonter, sous réserve que les gouvernements adoptent des politiques publiques et les nouveaux outils adéquats.
Une Ville digitale est une ville utilisant les nouvelles technologies pour optimiser son organisation dans le but d’améliorer la qualité de vie de ses habitants tout en intégrant en son sein une dimension environnementale.
Une mobilité intelligente : l’enjeu est de mettre en place des transports durables et interconnectés afin de diminuer leur empreinte environnementale. La ville connectée utilise des données en temps réel pour fluidifier la circulation. Un environnement intelligent : la Ville Digitale doit se focaliser sur la gestion des déchets, la préservation des énergies naturelles et l’utilisation d’énergies renouvelables. Elle doit également développer des espaces verts. Une économie intelligente : une ville intelligente doit promouvoir des services innovants et favoriser le développement local. L’objectif est de devenir un pôle d’innovation et d’attractivité. Une gouvernance intelligente : la Ville Digitale repose sur la transparence des données et l’Open Data. Elle incite également ses habitants à participer aux prises de décisions publiques. Un mode de vie intelligent : l’objectif est d’améliorer les conditions de vie notamment avec l’accès à la culture et à l’enseignement mais aussi favoriser la cohésion sociale, la santé et la sécurité.
La ville est un ensemble de différent entités qui font parties de son écosystème. Les résidents, les entreprises, les commençants, les habitats, les terrains, les voiries etc…
Une entité, comme par exemple un résident, peut détenir une entreprise ou faire partie d’une entreprise ou en être associé ou gérant etc…
Par digitalisation on entend la combinaison d’une identité numérique couplée à un portefeuille électronique pilotée par le groupement. La ville elle-même possède son portefeuille électronique sur sa plateforme.
Création d’une identité numérique et d’un portefeuille électronique pour la gestion de dépôt.
La ville devient fond de stabilisation pour une meilleur intrication des échanges entre entité et pour financer ses activités.
Les transactions entre entité ou hors ville s’appuie sur la création au préalable d’une identité et d’un portefeuille électronique connu et processé par la ville.
La ville depuis sa plateforme digitale donne accès à des services applicatifs à ses entités.
La ville depuis sa plateforme digitale donne accès à des services applicatifs à ses entités.
Un ensemble d’applications en ligne avec accès sécurisé s’appuyant sur l’identité numérique et le portefeuille électronique de l’entité voir de ses sous-éléments est mis à disposition des entités, gratuitement ou moyennant finance, par la ville.
Les modalités de paiement se base sur le compte prépayé de l’entité.
Les modalités de paiement se base sur le compte prépayé de l’entité. Liste des transactions possibles:
L’ensemble des interactions entre entité s’effectuera en temps réel. L’approvisionnement de fond (DEPOSITS) hors ville vers ville d’effectuera en temps différé et selon le type de moyen de paiement utilisé. Les transferts vers « hors » ville sont possible et s’effectuerons en différés selon le type de compte externe à approvisionner.
Cet écosystème s’apparente plus à une plateforme financière et bancaire, il doit en appliquer les contraintes et respecter ses normes. C’est-à-dire répondre aux questions :
L’archivage légal doit respecter ses protocoles :